
Le passé finit toujours pas nous rattraper quoi qu'il puisse nous arriver. On ne peut le fuir éternellement, ce serait bien trop facile. Souvent dans ces nuits d'insomnies, j'entrouvre mes volets et m'assois sur le rebord de ma fenêtre en laissant balancer mes pieds dans le vide. Je regarde le ciel, les étoiles, je les contemple. Mon esprit s'évade et vagabonde. Il me ramène dans des lieux chargés de souvenirs. Il me fait pleurer et sourire. La nostalgie me transporte parmi mes souvenirs d'enfance et arrive à m'arracher une larme elle aussi.
Je me revois dans la cour de mon école primaire entourée de mes amis, où tu n'as pas appris l'amour, la joie ni le bonheur. Tu as juste étudié l'arrogance dans l'angoisse, la honte et la peur.
Leave me, out with the waste..This is not what I do. It's the wrong kind of place, To be thinking of you. It's the wrong time, for somebody new; It's a small crime ! And I've got no excuse.
Is that alright with you? Give my gun away when it's loaded, that alright with you? If you don't shoot it how am I supposed to hold it. Is that alright with you? Give my gun away when it's loaded..Is that alright with you? With you.
Leave me out with the waste, This is not what I do. It's the wrong kind of place, To be cheating on you..It's the wrong time, but she's pulling me through ! It's a small crime ! And I've got no excuse..Is that alright with you? Give my gun away when it's loaded. Is that alright with you? If you don't shoot it how am I supposed to hold it, Is that alright with you?
Give my gun away when it's loaded
Is that alright. Is that alright with you?
No...

Dis Maman, comment ça se fait que je n'arrive plus à m'endormir le soir ?
Dis Maman, pourquoi je n'arrive plus à sourire ?
Dis Maman pourquoi je ne cesse de me détruire ?
Dis Maman, de quel couleur il est déjà le soleil ?
Dis Maman, pourquoi je n'arrive plus à supporter ces merveilles ?
Dis Maman, il est passé où le bonheur ?
Dis Maman, pourquoi je ne suis pas comme les autre ?
Dis Maman, pourquoi je connais tant le malheur ?


Ils se perforent en silence
La haine est devenue leur science
Les cris sont devenus leurs rires

Il a rejoint les goélands
La grande maison est livide
Les portes claquent à tout moment
Ils ont oublié qu'il y a peu
Strasbourg traversé en riant
Leur avait semblé bien moins grand
Qu'une grande place de banlieue
Ils ont oublié les sourires
Qu'ils déposaient tout autour d'eux
Quand je te parlais d'amoureux
L'amour nous rendra tous dingos
L'amour le mord, l'amour le moud
L'amour ça mord, l'amour c'est mou
L'amour ça meurt.
Une ampoule nue sans tain
Amour-névrose
Une chute, une overdose.
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